Depuis 2017, la Semaine Olympique et Paralympique (SOP) vise à mettre plus de sport dans le quotidien des jeunes et à mobiliser la communauté éducative autour des valeurs citoyennes et sportives qui font partie de l’ADN de l’Olympisme et du Paralympisme. Pilotée désormais par le Comité National Olympique Sportif Français (CNOSF) et le Comité Paralympique et Sportif Français (CPSF), elle s’adresse aux enseignants, éducateurs, élèves et étudiants de la maternelle à l’université, parents d’élèves et athlètes.
Perpétuer l’héritage des Jeux de Paris 2024
Pour sa 9ème édition, la SOP a lieu du 31 mars au 4 avril 2025. Organisée sur l’ensemble du territoire français (métropole et outre-mer) et dans le réseau des établissements scolaires français à l’étranger, elle visera à prolonger la magie des Jeux de Paris 2024 !
Quelques mois après cet évènement exceptionnel, la SOP doit permettre de faire vivre aux jeunes l’esprit olympique et paralympique à travers une série d’activités sportives, intellectuelles et artistiques.
Un but pédagogique
La Semaine Olympique et Paralympique poursuit 5 objectifs pédagogiques :
- Utiliser le sport comme outil pédagogique dans les enseignements ;
- Faire découvrir des disciplines olympiques et paralympiques en organisant des ateliers de pratique sportive et para sportive ;
- Sensibiliser aux valeurs olympiques et paralympiques en mobilisant les outils éducatifs et ludiques mis à disposition ;
- Changer le regard sur le handicap en s’appuyant sur la découverte des para athlètes et desparasports, et en intégrant des rencontres de parasports ou de sports partagés ;
- Éveiller les jeunes à l’engagement bénévole et citoyen.
Cette année, la Semaine Olympique et Paralympique est menée par un duo d’athlètes d’exception : la sabreuse médaillée olympique Manon Apithy-Brunet et le champion paralympique de saut en longueur Arnaud Assoumani.
Lors de l’édition 2024, plus de 12 000 écoles et établissements s’étaient mobilisés, ce qui avait permis la sensibilisation de 2 millions d’élèves et d’étudiants. Par ailleurs, plus de 90% des projets intégraient une dimension paralympique.